Je m'appelle Saül Weissmann mais ne vous fiez pas à mon nom qui n'est pas juif, en dépit des apparences. J'ai été, pendant soixante-dix ans, un imposteur pour les autres et pour moi-même ".
Ainsi commence la confession du narrateur, un vieux survivant d'Auschwitz qui apprend de la bouche d'un rabbin qu'il n'est pas juif selon la loi de Moïse. Un roman sur la quête identitaire, incisif, douloureux mais non dénué d'humour noir, où le cynisme le dispute à l'absurde Galerie |
Revue de presse
- « Dans ce deuxième roman, Karine Tuil, qui a moins de trente ans, manifeste une intelligence aussi libre que respectueuse, une légèreté de ton et d’écriture qui préserve toute la gravité de son propos. » Le Monde des Livres
- « Cette histoire de métamorphose à la Kafka, traitée dans un style ironique et lapidaire, confirme le talent de la jeune romancière (…) Un court texte à l’humour léger, vif et intelligent.»
- Sélection Rentrée 2001 des Inrockuptibles (lire la critique)
- « Un roman joyeux qui défie le politiquement correct. » Télérama
- « De l’autodérision, façon Woody Allen. » Lire (lire la critique)
- « Karine Tuil a les moyens désormais de conquérir une place non négligeable au soleil noir du désespoir tranquille. » Le Nouvel Observateur
- « Un prenant exercice de style. » Le Point
- « Karine Tuil aurait pu traiter son sujet de manière grave ; c’eût été sans doute plus facile. Elle a choisi la légèreté, quelque chose d’assez proche des Marx Brothers et de Woody Allen. Avec le même allant, un semblable enthousiasme dans l’écriture, tout en férocité, tout en humour. Un choix exact. » Le Magazine littéraire
- « Un livre grinçant qui rappelle les débuts d’Amélie Nothomb. » Elle
- « Un roman pétillant de drôlerie (…). Une savoureuse réussite. » Ouest France
- « L’un des titres les plus intéressants de cette fin d’année. » La presse de la Manche
- « Un savoureux roman. » Nice Matin
- « Un surprenant roman. » La Marseillaise
- « Attention, humour féroce. » La dernière heure
- « Un roman insolent, décapant, intelligent. » La libre belgique
- « Ecriture subtile, ton virulent : un roman qui pose la grande question de l’identité. » Sélection Virgin Megastores Rentrée littéraire 2001
- « Un livre original qui comblera les lecteurs aventureux. » Sélection de la librairie Delamain