« Dans l’anonymat d’une chambre d’hôtel, l’une des femmes les plus puissantes d’Allemagne se donna à un homme dont elle ne savait rien, qu’elle n’avait vu que deux fois dans sa vie…. » Mais au bout de quelques mois, l’homme menace de révéler à la presse leur liaison : tous leurs ébats ont été filmés. Juliana Kant la milliardaire dénonce le gigolo. On l’emprisonne, la morale est presque sauve. Une affaire de mœurs chez les riches ? Une liaison amoureuse qui tourne au chantage sordide ? Karine Tuil, dans son roman le plus troublant, dévoile l’arrière-monde de cette aventure risquée : qui est à l’origine d’une telle fortune allemande ? Pourquoi le grand-père de Juliana, premier mari de Magda Goebbels, et militant nazi, n’a-t-il pas été arrêté à la libération ? Sait-on que le père d’adoption de Magda était un juif qu’elle a renié puis laissé mourir ? Pourquoi les Kant ont-ils gardé le silence sur leurs activités industrielles sous le Reich ? Et si humilier sexuellement la jolie bête blonde était une forme de vengeance ? Les fils ont-ils d’ailleurs reconnu la faute des pères, les vivants ont-ils pardonné aux morts ?
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Revue de presse
ELLE Critique de Olivia de Lamberterie
"Karine Tuil tient son sujet d'une plume de fer et en fait son meilleur roman"
Le Journal du Dimanche La chronique livre de Bernard Pivot de l'Académie Goncourt
"C’est le récit d’une séduction qui mériterait de figurer dans une anthologie de la conquête amoureuse."
"Karine Tuil est très habile à mêler réalité et fiction, à passer sans transition de la domination par le sexe à la domination par l’argent et le crime. Le lecteur, lui aussi, se sent dominé".
"Karine Tuil tient son sujet d'une plume de fer et en fait son meilleur roman"
Le Journal du Dimanche La chronique livre de Bernard Pivot de l'Académie Goncourt
"C’est le récit d’une séduction qui mériterait de figurer dans une anthologie de la conquête amoureuse."
"Karine Tuil est très habile à mêler réalité et fiction, à passer sans transition de la domination par le sexe à la domination par l’argent et le crime. Le lecteur, lui aussi, se sent dominé".